Reconnaître et soulager votre allergie au pollen

Plus de 25% de la population française est concernée par les allergies au pollen, un chiffre qui risque d’augmenter dans les années à venir en raison de la concentration croissante de pollen dans l’air. Comment reconnaître ces allergies respiratoires qui se manifestent seulement à certaines périodes de l’année ? 

Qu’est-ce qu’une allergie au pollen ? 

Pour certaines personnes, le printemps est synonyme de symptômes désagréables tels que les éternuements, les démangeaisons et les yeux rouges. Ces symptômes sont souvent le signe d’une allergie au pollen, communément appelée rhume des foins. Cette réaction allergique survient lorsque le système immunitaire réagit de manière excessive au pollen provenant des graminées ou des arbres, déclenchant ainsi une série de symptômes inconfortables.

Reconnaître une allergie au pollen 

Les allergies au pollen sont courantes pendant les saisons de floraison, surtout au printemps lorsque les arbres, les graminées et les herbacés libèrent leur pollen dans l’air. Ce pollen est souvent invisible à l’œil nu, mais il entre en contact avec les yeux et pénètre dans l’organisme par les voies respiratoires, déclenchant ainsi des réactions allergiques chez les personnes sensibles.

Comme toutes les allergies, les allergies au pollen se manifestent par un ensemble de symptômes reconnaissables qui apparaissent suite à une exposition. Ils surviennent généralement pendant les périodes de beau temps, du printemps à l’automne, avec des pics saisonniers correspondant à la pollinisation des différents types de plantes : les arbres (de février à mai), les graminées (de mai à juillet), les herbacés et l’ambroisie (de juillet à octobre).

Les symptômes les plus fréquents incluent des yeux piquants ou larmoyants, un nez qui coule ou est obstrué, une gorge irritée, des éternuements, des maux de tête, une sinusite, voire de l’asthme dans les cas les plus sévères. Ces allergies peuvent affecter la qualité du sommeil et le bien-être général. Il est important de noter que la gravité des symptômes varie d’une personne à l’autre, et une personne allergique au pollen le sera chaque année à la même période, bien que l’intensité et la durée des symptômes puissent varier.

Pour suivre l’évolution du pollen en temps réel et planifier en conséquence, il est possible de consulter la carte du pollen. En cas de suspicion d’allergie au pollen, il est recommandé de consulter un médecin traitant. Celui-ci peut prescrire des tests sanguins ou des tests cutanés pour identifier les allergènes spécifiques et recommander un traitement adapté pour soulager les symptômes allergiques. En cas de symptômes graves ou persistants, une consultation avec un allergologue peut être nécessaire pour un diagnostic approfondi et une gestion optimale de l’allergie au pollen.

Comment soigner les allergies au pollen ? 

Savez-vous que l’allergie au pollen est l’une des allergies les plus courantes en France ? En effet, selon le Réseau National de Surveillance Aérobiologique (RNSA), près d’un quart de la population française est concerné par ce problème allergique. Si pour certains, les symptômes peuvent être bénins, pour d’autres, ils peuvent être plus intenses voire handicapants.

Quelques conseils pour limiter l’exposition au pollen 

Lorsque l’allergie au pollen se manifeste, il est crucial de prendre des mesures pour limiter son exposition et atténuer les symptômes. Voici quelques conseils pratiques pour vous aider à gérer votre allergie au pollen au quotidien. 

La première chose à faire est d’identifier les plantes allergènes : Toutes les plantes à graines produisent du pollen, mais certaines sont plus allergisantes que d’autres. Le bouleau, le platane, le noisetier et le châtaignier sont parmi les arbres les plus à risque. Consultez un allergologue pour déterminer les allergènes spécifiques auxquels vous êtes sensible.

Une fois que vous avez identifié votre allergie au pollen, optez pour des traitements adaptés :

Désensibilisation : Ce traitement consiste à exposer progressivement votre organisme à de faibles doses d’allergènes sur le long terme, ce qui peut réduire les symptômes allergiques.

Médicaments antihistaminiques : Les antihistaminiques peuvent aider à réduire les réactions allergiques en bloquant l’histamine, une substance libérée en réponse à l’allergène. Des options en vente libre ou sur ordonnance sont disponibles, notamment des sprays nasaux, des solutions de lavage oculaire et des comprimés antihistaminiques.

Traitements naturels : Certaines personnes trouvent un soulagement avec des remèdes naturels tels que les huiles essentielles d’eucalyptus ou de menthe poivrée pour dégager les voies nasales, le miel pour apaiser la gorge et l’ortie qui agit comme un antihistaminique naturel.

Enfin, n’oubliez pas d’adopter des gestes préventifs. En voici quelques uns que vous pouvez appliquer quotidiennement pour réduire votre allergie au pollen :

Se laver les cheveux et le visage régulièrement pour éliminer le pollen.

Porter des lunettes de soleil pour protéger les yeux des particules de pollen.

Aérer le logement pendant au moins 10 minutes par jour, de préférence tôt le matin ou tard le soir.

Éviter les activités extérieures les jours de forte concentration de pollen.

Sécher le linge à l’intérieur plutôt qu’à l’extérieur pour éviter qu’il ne se charge en pollen.

Éviter les facteurs irritants supplémentaires tels que la fumée de tabac, les produits d’entretien agressifs et les odeurs fortes.

 

En cas de symptômes persistants ou de besoin de conseils supplémentaires, n’hésitez pas à consulter votre médecin traitant ou votre pharmacien. Ils pourront vous recommander les meilleures mesures à prendre et vous proposer un traitement adapté à votre situation.

 

Sources : 

https://www.pollens.fr/ 

https://pasteur-lille.fr/2022/04/27/allergies-pollen-traitement/ 

https://sante.gouv.fr/sante-et-environnement/air-exterieur/pollens-et-allergies/article/effets-des-pollens-sur-la-sante 

https://www.pollens.fr/le-reseau/allergie

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Mars Bleu : Cancer du côlon – symptômes, dépistage et prévention

Le mois de mars est synonyme de sensibilisation au cancer colorectal à travers le mouvement Mars Bleu. Ce mois dédié au cancer du côlon vise à informer et sensibiliser le public sur cette maladie, qui représente l’un des principaux défis de santé publique

Le cancer colorectal est également connu sous le nom de cancer du côlon ou du rectum, est le troisième cancer le plus fréquent, après le cancer du sein et du poumon. Chaque année, il touche près de 47 000 personnes en France, soit plus de 130 cas diagnostiqués chaque jour. 

Quels sont les symptômes du cancer du côlon ?

Reconnaître les symptômes courants du cancer du côlon est essentiel pour un dépistage précoce et un traitement efficace. Ce type de cancer se développe silencieusement pendant de nombreuses années, et les symptômes ne se manifestent souvent qu’à un stade avancé. 

L’importance de la détection précoce 

L’importance de la détection réside dans le fait que le cancer colorectal peut être guéri s’il est détecté à un stade précoce. Le dépistage permet d’éviter plus de 6 000 décès par an en France. Il est particulièrement crucial pour les personnes âgées de 50 à 74 ans, et il est recommandé d’en réaliser un tous les deux ans. Les chances de guérison sont significativement plus élevées lorsqu’un cancer colorectal est détecté et traité tôt. En effet, cela peut aider à identifier les anomalies avant qu’elles ne se transforment en cancers invasifs.

Certains facteurs augmentent le risque de développer un cancer colorectal, notamment l’âge. En effet, 95% des cancers colorectaux sont diagnostiqués chez des personnes âgées de plus de 50 ans. Les antécédents personnels ou familiaux de cancer colorectal peuvent également augmenter le risque, avec un risque estimé multiplié par trois en présence d’antécédents familiaux. La prédisposition génétique, ainsi que certaines habitudes de vie telles que le tabagisme, la consommation excessive d’alcool et une alimentation déséquilibrée, peuvent également contribuer à accroître le risque de cancer colorectal.

Le dépistage du cancer du côlon 

Le cancer colorectal est l’un des cancers les plus courants et les plus redoutables, mais il est également l’un des plus guérissables. C’est là tout l’intérêt de la campagne Mars Bleu, qui vise à sensibiliser la population à l’importance du dépistage précoce de cette maladie.

Les méthodes de dépistage

Le dépistage du cancer du côlon est simple, rapide et surtout indolore. Le cancer colorectal se développe généralement à partir d’un polype sur la paroi interne du côlon ou du rectum. Dans la plupart des cas, le cancer colorectal peut être évité, et environ 80% des cas proviennent de polypes qui étaient initialement bénins.

Il existe plusieurs méthodes disponibles pour détecter le cancer du côlon à un stade précoce. Parmi celles-ci, le test de dépistage fécal est l’un des plus couramment utilisés. Ce test consiste à prélever un échantillon de selles, qui est ensuite envoyé à un laboratoire pour analyse. Si du sang est détecté dans les selles, cela peut indiquer la présence d’une anomalie qui nécessite une évaluation supplémentaire.

Pour effectuer le dépistage, il vous suffit de suivre quelques étapes simples. Après réception de l’invitation du centre régional de coordination des dépistages du cancer, vous pouvez vous rendre chez votre pharmacien ou votre médecin traitant pour obtenir le kit de dépistage. Vous pouvez également commander directement le test sur le site dédié : https://monkit.depistage-colorectal.fr/. Une fois le kit reçu, il vous suffit de prélever un échantillon de selles à l’aide du matériel fourni et de renvoyer le test. Vous recevrez ensuite les résultats environ 15 jours plus tard.

La prévention du cancer colorectal 

Contrairement à une croyance répandue, le cancer du côlon ne touche pas uniquement les hommes. En réalité, il affecte autant les hommes que les femmes. Souvent, il émerge à partir d’une tumeur bénigne qui se développe sans symptômes apparents jusqu’à devenir maligne.

Les facteurs à risque et les mesures de prévention 

Pour réduire le risque de développer un cancer du côlon, il est essentiel d’adopter des mesures préventives simples. Adopter une alimentation saine, riche en fibres et pauvre en graisses saturées, ainsi que la pratique régulière d’une activité physique sont des actions recommandées pour diminuer les risques. 

Plusieurs facteurs de risque sont associés au cancer du côlon, notamment le régime alimentaire, le mode de vie et les antécédents familiaux. Le surpoids, une alimentation riche en graisses, une consommation excessive de viande rouge, le tabagisme, la sédentarité et la consommation excessive d’alcool sont autant de facteurs qui peuvent augmenter le risque de développer cette maladie. Il est important de souligner que des changements de mode de vie simples peuvent avoir un impact significatif sur la prévention du cancer colorectal

Les pharmacies jouent un rôle essentiel dans la sensibilisation et l’éducation des individus sur les mesures préventives à adopter. Ils peuvent vous fournir des conseils personnalisés sur l’alimentation, l’exercice physique et d’autres comportements sains pour réduire les risques de cancer du côlon. En cas de symptômes tels que la présence de sang dans les selles, une perte de poids inexpliquée, des douleurs abdominales persistantes ou des changements dans les habitudes intestinales, il est crucial de consulter un professionnel de la santé. 
 

Sources :

https://www.gustaveroussy.fr/fr/mars-bleu-depistage-et-prevention-du-cancer-colorectal-peuvent-sauver-des-vies 

https://www.centreleonberard.fr/mars-bleu-mois-dedie-prevention-depistage-cancer-colorectal 

https://www.ligue-cancer.net/mars-bleu 

https://www.hauts-de-france.ars.sante.fr/mars-bleu-prevenir-le-cancer-colorectal  

https://www.monparcourshandicap.gouv.fr/actualite/mars-bleu-faites-vous-depister-contre-le-cancer-colorectal 

https://www.nouvelle-aquitaine.ars.sante.fr/mars-bleu-le-mois-de-prevention-du-cancer-colorectal

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L’importance du vaccin contre le papillomavirus

Le papillomavirus, communément appelé HPV (pour Human Papillomavirus), est un virus sexuellement transmissible qui peut entraîner de nombreux cancers dont des cancers du col de l’utérus chez les femmes et de la bouche chez les hommes. Il provoque également de nombreuses verrues génitales. Il existe plus de 200 types de virus, parmi lesquels environ 12 sont considérés comme à haut risque, pouvant provoquer des cancers

Dans la plupart des cas, les infections à HPV sont asymptomatiques et disparaissent spontanément au bout de quelques mois. Cependant, dans certains cas, ces infections persistent et peuvent évoluer vers des lésions précancéreuses, puis vers des cancers. Il est crucial de noter que le papillomavirus ne touche pas seulement les femmes. Les hommes peuvent également être infectés par le HPV et être exposés à des risques de complications.

Pourquoi se faire vacciner contre les infections à papillomavirus ?

Les infections à papillomavirus sont principalement transmises par contact sexuel. Les personnes sexuellement actives, qu’elles soient hommes ou femmes, sont donc exposées au risque d’infection. Les symptômes peuvent varier, allant des verrues génitales aux lésions buccales, et dans les cas les plus graves, aux cancers associés au HPV.

L’importance de la vaccination dans la prévention des infections à papillomavirus

Le papillomavirus humain (HPV) est le principal facteur de risque de cancer du col de l’utérus mais aussi de cancer de la sphère ORL, de l’anus, de la vulve, du vagin et du pénis. Le vaccin contre le papillomavirus offre une protection significative contre les infections à HPV. Chez les femmes, il peut prévenir jusqu’à 70 à 90% des cancers du col de l’utérus.

Le vaccin contre le papillomavirus est essentiel pour prévenir les infections et les complications graves qui en découlent. Il est recommandé aux jeunes filles âgées de 11 à 14 ans, avec la possibilité de le faire jusqu’à l’âge de 19 ans, ainsi qu’aux jeunes garçons du même âge. Le vaccin est plus efficace chez les personnes qui n’ont pas encore été exposées au HPV. De plus, il est recommandé pour les hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes jusqu’à l’âge de 26 ans, afin de prévenir les lésions précancéreuses anales et les cancers anaux.

 

 

Comment se faire vacciner contre le papillomavirus ?

Le papillomavirus est un virus très contagieux, en effet, il est estimé que près de 70 à 80% des hommes et des femmes seront infectés par le papillomavirus au moins une fois dans leur vie. Il se transmet le plus souvent lors de rapports sexuels, avec ou sans pénétration, et cela, tout au long de sa vie.

Qui vaccine contre le papillomavirus ? 

Le vaccin contre le papillomavirus est disponible dans plusieurs endroits, notamment chez votre médecin, sage-femme, infirmier, au centre gratuit d’information de dépistage et diagnostic, au centre de planification familial, et également en pharmacie. Les pharmacies sont également habilitées à administrer ce vaccin, offrant ainsi un accès plus large à la vaccination.

Il existe différents types de vaccins contre le papillomavirus, notamment un vaccin bivalent (qui protège des virus types 16 et 18) et un vaccin nonavalent (qui protège des virus 31, 33, 45, 58, 58). Le schéma vaccinal recommandé varie en fonction de l’âge et du statut vaccinal de la personne, et peut comprendre deux ou trois doses administrées sur une période de plusieurs mois.

En conclusion, se faire vacciner contre le papillomavirus est un moyen efficace de prévenir les infections et les complications graves qui en découlent. Outre le vaccin, il est également important de pratiquer des comportements sexuels sûrs et de maintenir des consultations médicales régulières pour le dépistage et le suivi. N’hésitez pas à parler à votre médecin traitant ou à votre pharmacien pour plus d’informations sur la vaccination contre le papillomavirus et sur d’autres moyens de prévention disponibles.

 

Sources : 

https://www.service-public.fr/particuliers/actualites/A16438#:~:text=Quels%20vaccins%20contre%20le%20papillomavirus,58)

https://vaccination-info-service.fr/Les-maladies-et-leurs-vaccins/Infections-a-Papillomavirus-humains-HPV

https://www.ameli.fr/assure/actualites/pourquoi-et-comment-faire-vacciner-son-enfant-contre-le-papillomavirus-humain-hpv 

https://www.vidal.fr/medicaments/utilisation/vaccins/vaccin-papillomavirus.html 

https://www.e-cancer.fr/Comprendre-prevenir-depister/Reduire-les-risques-de-cancer/Vaccination-contre-les-cancers-HPV 

https://www.ameli.fr/assure/sante/themes/vaccination/vaccins-recommandes

 

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Vaccin contre le papillomavirus

Le papillomavirus, communément appelé HPV (pour Human Papillomavirus), est un virus sexuellement transmissible qui peut entraîner de nombreux cancers dont des cancers du col de l’utérus chez les femmes et de la bouche chez les hommes. Il provoque également de nombreuses verrues génitales. Il existe plus de 200 types de virus, parmi lesquels environ 12 sont considérés comme à haut risque, pouvant provoquer des cancers

Dans la plupart des cas, les infections à HPV sont asymptomatiques et disparaissent spontanément au bout de quelques mois. Cependant, dans certains cas, ces infections persistent et peuvent évoluer vers des lésions précancéreuses, puis vers des cancers. Il est crucial de noter que le papillomavirus ne touche pas seulement les femmes. Les hommes peuvent également être infectés par le HPV et être exposés à des risques de complications.

Pourquoi se faire vacciner contre les infections à papillomavirus ?

Les infections à papillomavirus sont principalement transmises par contact sexuel. Les personnes sexuellement actives, qu’elles soient hommes ou femmes, sont donc exposées au risque d’infection. Les symptômes peuvent varier, allant des verrues génitales aux lésions buccales, et dans les cas les plus graves, aux cancers associés au HPV.

L’importance de la vaccination dans la prévention des infections à papillomavirus

Le papillomavirus humain (HPV) est le principal facteur de risque de cancer du col de l’utérus mais aussi de cancer de la sphère ORL, de l’anus, de la vulve, du vagin et du pénis. Le vaccin contre le papillomavirus offre une protection significative contre les infections à HPV. Chez les femmes, il peut prévenir jusqu’à 70 à 90% des cancers du col de l’utérus.

Le vaccin contre le papillomavirus est essentiel pour prévenir les infections et les complications graves qui en découlent. Il est recommandé aux jeunes filles âgées de 11 à 14 ans, avec la possibilité de le faire jusqu’à l’âge de 19 ans, ainsi qu’aux jeunes garçons du même âge. Le vaccin est plus efficace chez les personnes qui n’ont pas encore été exposées au HPV. De plus, il est recommandé pour les hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes jusqu’à l’âge de 26 ans, afin de prévenir les lésions précancéreuses anales et les cancers anaux.

 

 

Comment se faire vacciner contre le papillomavirus ?

Le papillomavirus est un virus très contagieux, en effet, il est estimé que près de 70 à 80% des hommes et des femmes seront infectés par le papillomavirus au moins une fois dans leur vie. Il se transmet le plus souvent lors de rapports sexuels, avec ou sans pénétration, et cela, tout au long de sa vie.

Qui vaccine contre le papillomavirus ? 

Le vaccin contre le papillomavirus est disponible dans plusieurs endroits, notamment chez votre médecin, sage-femme, infirmier, au centre gratuit d’information de dépistage et diagnostic, au centre de planification familial, et également en pharmacie. Les pharmacies sont également habilitées à administrer ce vaccin, offrant ainsi un accès plus large à la vaccination.

Il existe différents types de vaccins contre le papillomavirus, notamment un vaccin bivalent (qui protège des virus types 16 et 18) et un vaccin nonavalent (qui protège des virus 31, 33, 45, 58, 58). Le schéma vaccinal recommandé varie en fonction de l’âge et du statut vaccinal de la personne, et peut comprendre deux ou trois doses administrées sur une période de plusieurs mois.

En conclusion, se faire vacciner contre le papillomavirus est un moyen efficace de prévenir les infections et les complications graves qui en découlent. Outre le vaccin, il est également important de pratiquer des comportements sexuels sûrs et de maintenir des consultations médicales régulières pour le dépistage et le suivi. N’hésitez pas à parler à votre médecin traitant ou à votre pharmacien pour plus d’informations sur la vaccination contre le papillomavirus et sur d’autres moyens de prévention disponibles.

 

Sources : 

https://www.service-public.fr/particuliers/actualites/A16438#:~:text=Quels%20vaccins%20contre%20le%20papillomavirus,58)

https://vaccination-info-service.fr/Les-maladies-et-leurs-vaccins/Infections-a-Papillomavirus-humains-HPV

https://www.ameli.fr/assure/actualites/pourquoi-et-comment-faire-vacciner-son-enfant-contre-le-papillomavirus-humain-hpv 

https://www.vidal.fr/medicaments/utilisation/vaccins/vaccin-papillomavirus.html 

https://www.e-cancer.fr/Comprendre-prevenir-depister/Reduire-les-risques-de-cancer/Vaccination-contre-les-cancers-HPV 

https://www.ameli.fr/assure/sante/themes/vaccination/vaccins-recommandes

 

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Nouveaux Horaires

A partir du 4 mars 2024, les horaires de votre pharmacie changent.

Elle est désormais ouverte du lundi au vendredi de 9h à 13h, puis de 14h jusqu’à 19h30.

Le samedi de 9h à 13h puis de 14h jusqu’à 19h.

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